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On cherche sa vérité sur ses limites, puis vers les limites de l’humain, par la passion, qui est aimer pour s’approprier.

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Du Divertissement au Progrès
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Article mis en ligne le 9 octobre 2017

par Matthieu Giroux

Le divertissement consiste à penser à autre chose, selon Pascal. Ainsi, on ne pensera pas à son évolution, à son développement personnel.

On a l’impression qu’on ne peut pas se passer facilement de divertissements. On se sent addicte aux jeux. En effet, il y a peu d’échappatoires aux films. Tout d’abord, il s’agit de trouver les manques des films. Ils ne parlent pas de la société, c’est à dire qu’ils nous orientent vers l’individu, pour nous empêcher d’évoluer, afin de continuer à tourner en rond avec ses divertissements. Alors nous avons un comportement animal, qui consiste à se replier sur soi, ne voyant pas comment agir dans la société.

Imaginer les liens vers la société n’est pas simple. Seulement il existe une alternative. Trouver comment le héros cherche la vérité permet de s’accaparer le potentiel du héros, et de ses suiveurs. Alors, on aime regarder les films, découvrir de nouveaux horizons. Seulement, sachant qu’on s’oriente vers l’individu, il manque quelque chose.

Une activité créative nous permet alors d’apprendre l’architecture, le sport créatif, le travail manuel, la musique. Si notre activité nous passionne, parce qu’elle utilise une, voire toutes nos intelligences, alors nous préférons notre activité créative. Grâce à l’architecture, on participe à la vie citoyenne. Grâce au sport créatif, on cherche à se sentir mieux dans son corps, en pensant à l’avenir de sa santé. Grâce au travail manuel, on apprend de nouvelles façons de créer. Grâce à la musique, on réfléchit pour agir.

Alors nous évoluons. Seulement consommer une activité ne suffit plus. Il s’agit de créer une activité, de s’épanouir grâce aux autres. Alors on crée des ateliers, sur ce qu’on aime, ou ce qui nous motive. On pense que celui qui met en place un atelier le fait pour les autres. Mais il met en place un atelier surtout pour lui. Apprendre aux autres permet d’apprendre sur soi. On devient pédagogue. Alors on peut créer des vidéos pédagogiques, des livres pédagogiques, des conférences.

Alors le divertissement ne suffit plus. Il s’agit pour nous de capter ce qui fait de nous des personnes créatives. Des documentaires nous permettent d’améliorer notre pédagogie, nos connaissances, notre histoire, notre philosophie. Alors on essaye de philosopher avec les autres. Il s’agit de lire du Platon, du Leibniz et du Papin, du Planck, du Riemann, du Jaurès, du Einstein. Alors on se trouve embarqué dans une envie d’évoluer. Au début, on a peur d’évoluer. Puis, cela devient une habitude. À chaque atelier, on évolue, donc on veut évoluer, en ayant de moins en moins peur d’évoluer.

Alors les divertissements deviennent annexes. On installe GNU Linux sur son ordinateur, un environnement entièrement modifiable, si on souhaite apprendre à modifier les logiciels libres, on si on a juste besoin d’aller sur le web et d’utiliser de la bureautique. On passe de plus en plus de temps à méditer. Le fait qu’on ne voit plus d’images rapides à la télévision, fait qu’on médite pour trouver des idées, pas que pour comprendre. Alors, on va aux ateliers philo, aux ateliers histoire, aux réunions politiques et citoyennes, pour agir dans ces ateliers. On s’intéresse au monde. Alors les divertissements sont insuffisants pour évoluer.

Mes Notes

Trouver une activité qui nous parle ou participer à la citoyenneté.


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